Les conditions d’autocurage :
Réseau unitaire :
En vue de la réalisation de réseaux « autocureurs » et satisfaisant aux
préoccupations hygiéniques qui impliquent l'évacuation rapide et continue de tous les
déchets fermentescibles, la pente des ouvrages devrait permettre pour des débits
pluviaux atteints assez fréquemment, l’entraînement des sables, et pour le débit
moyen des eaux usées, celui des vases organiques fermentescibles. On tend vers la
satisfaction de ces conditions dans les ouvrages calculés pour l'évacuation du
ruissellement de fréquence décennale en y réalisant des vitesses de l'ordre de 0,60
m par seconde pour 1/10 du débit à pleine section et de 0,30 m par seconde pour
1/100 de ce même débit. Ces limites sont respectées toutes deux avec des vitesses
à pleine section de l'ordre de 1 mètre par seconde dans des canalisations circulaires
et de 0,90 ni par seconde dans les ouvrages ovoïdes.
Réseau séparatif :
Afin d'éviter les dépôts des matériaux solides d'une part et d'éviter la
dégradation des joints et l'abrasion des canalisations d'autre part, les vitesses
devront être comprises entre les valeurs limites suivantes :
Cette condition devra être accompagnée des conditions d’autocurage:
à pleine ou à demi section, la vitesse d'écoulement doit dépasser 0,7 m/s.
pour un remplissage égal aux 1/5 du diamètre, la vitesse d'écoulement doit
être au moins égale à 0,3 m/s.
le remplissage de la conduite au moins égal aux 1/5 du diamètre doit être
assuré par le débit moyen actuel.
Par le fait de limiter la vitesse minimale à 0.7 m/s (première condition
d’autocurage), la deuxième condition est automatiquement satisfaite. La troisième
condition reste tributaire du nombre d’usagers raccordés au réseau. En cas
d’insuffisance des débits transités, l’exploitant doit augmenter la fréquence des
curages.
V effective =S m /Q réel
V 2/10D =S m /Q 2/10D
V D/2 =S m /Q D/2
S m : section mouillée
Réseau unitaire :
En vue de la réalisation de réseaux « autocureurs » et satisfaisant aux
préoccupations hygiéniques qui impliquent l'évacuation rapide et continue de tous les
déchets fermentescibles, la pente des ouvrages devrait permettre pour des débits
pluviaux atteints assez fréquemment, l’entraînement des sables, et pour le débit
moyen des eaux usées, celui des vases organiques fermentescibles. On tend vers la
satisfaction de ces conditions dans les ouvrages calculés pour l'évacuation du
ruissellement de fréquence décennale en y réalisant des vitesses de l'ordre de 0,60
m par seconde pour 1/10 du débit à pleine section et de 0,30 m par seconde pour
1/100 de ce même débit. Ces limites sont respectées toutes deux avec des vitesses
à pleine section de l'ordre de 1 mètre par seconde dans des canalisations circulaires
et de 0,90 ni par seconde dans les ouvrages ovoïdes.
Réseau séparatif :
Afin d'éviter les dépôts des matériaux solides d'une part et d'éviter la
dégradation des joints et l'abrasion des canalisations d'autre part, les vitesses
devront être comprises entre les valeurs limites suivantes :
Cette condition devra être accompagnée des conditions d’autocurage:
à pleine ou à demi section, la vitesse d'écoulement doit dépasser 0,7 m/s.
pour un remplissage égal aux 1/5 du diamètre, la vitesse d'écoulement doit
être au moins égale à 0,3 m/s.
le remplissage de la conduite au moins égal aux 1/5 du diamètre doit être
assuré par le débit moyen actuel.
Par le fait de limiter la vitesse minimale à 0.7 m/s (première condition
d’autocurage), la deuxième condition est automatiquement satisfaite. La troisième
condition reste tributaire du nombre d’usagers raccordés au réseau. En cas
d’insuffisance des débits transités, l’exploitant doit augmenter la fréquence des
curages.
V effective =S m /Q réel
V 2/10D =S m /Q 2/10D
V D/2 =S m /Q D/2
S m : section mouillée