jeudi 31 décembre 2015
mercredi 30 décembre 2015
Explication du coagulation floculation
Extrait : Coagulants et floculants sont des réactifs chimiques représentatifs de l'évolution de la chimie
dans la seconde moitié du XXe
siècle, caractérisée par le passage d'une chimie de commodités
à une chimie de spécialités.
Dans le premier cas les industriels visent surtout à réduire les coûts de production des
molécules de la chimie dite « lourde » telles que les acides phosphorique ou sulfurique, la
chaux ou le carbonate de soude, l'éthanol… fabriquées en très grandes quantités et sans
distinction particulière de qualité d'un producteur à l'autre. À ce niveau de prix, le produit est
souvent utilisé en tant que réactif dans un procédé qui est conçu pour s'adapter aux
caractéristiques et contraintes du produit considéré : par exemple, les équipements d'un atelier
utilisant de l'acide chlorhydrique sont choisis pour résister à la corrosion.
Dans le second cas, les produits sont réalisés « sur mesure » pour répondre au cahier des
charges très pointu d'une application donnée : la silice utilisée dans la fabrication de pâte
dentifrice n'a pas les mêmes caractéristiques que celle mise en œuvre pour des formulations
des bétons de haute performance.

mardi 29 décembre 2015
lundi 28 décembre 2015
dimanche 27 décembre 2015
Cours de généralités sur les pompes doc
Les pompes ont pour but de vaincre les
pertes de charges d’une installation afin
d’assurer un débit déterminé.
Elles fournissent donc un débit
(Qv) et de la pression.
Le débit à véhiculer est bien sur
fonction de la puissance pour un circuit de chauffage: Qv= P/ 1,16*Δθ
I) Généralités
I.1 Fonction
I.2
Utilisation dans les réseaux de chauffage
II) Classification en 3 types
III) Le point fonctionnement
III.1 Courbe
caractéristiques d’une pompe
III.2 Courbe
caractéristiques d’un réseau
samedi 26 décembre 2015
Dimensionnement des pompes
Comment dimensionner les pompes : http://www.thermexcel.com/french/ressourc/mot_pump.htm
Cours sur la pompe centrifuge: réseau, courbe de réseau :http://www.azprocede.fr/Cours_GC/pompe_centrifuge_reseau.html
vendredi 25 décembre 2015
mardi 22 décembre 2015
lundi 21 décembre 2015
Mémoire sur la pollution d'une fleuve et suivi par SIG
PFE : NIVEAU DE POLLUTION DANS LE BAS BEHT ET SUIVI PAR LE SYSTEME D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE
Synthèse bibliographique sur la pollution des eaux
POLLUTION DES EAUX CONTINENTALES DOUCES
Définitions et généralités
Types de pollution
Eléments polluants et paramètres d’évaluation de la pollution
Charge en DBO (Demande biologique/biochimique en oxygène)
Charge en DCO (Demande chimique en oxygène)
Charge en éléments indésirables
Chlorures de sodium
Soufre et sulfates
Ammonium
Nitrites et les Nitrates
Charge en phosphore
Charge en azote
Oligo-éléments et les toxiques minéraux
Plomb
Mercure
Arsenic
Cadmium
Sélénium
Chrome
Teneur en matière organique
PH
Salinité
Température
Matières en suspension totaux et volatils
Conductivité
Pesticides
Insecticides organochlorés
Insecticides organophosphorés et les carbamates
Chap2 : LA POLLUTION DES EAUX AU MAROC ET
CADRE INSTITUTIONNEL ET LEGISLATIF
Pollution des eaux au Maroc
Pollution d'origine domestique et urbain
Rejets liquides
Rejets solides
Pollution industrielle
Rejets liquides
Rejets solides
Pollution d'origine agricole
Pollution accidentelle
Niveau de pollution au Maroc
Principaux processus de dégradation da la qualité des eaux en surface
.....
dimanche 20 décembre 2015
samedi 19 décembre 2015
Coagulation Floculation dans le traitement des eaux usées
COAGULATION, FLOCULATION, SÉDIMENTATION & FILTRATION DES EAUX USÉES INDUSTRIELLES
Coagulation : Traitement chimique pour déstabiliser les colloïdes. Altération de la surface de la charge négative du colloïde de façon à ce qu’ils approchent et adhèrent l’un à l’autreFloculation: Ensemble des phénomènes physico-chimiques menant à l'agrégation de particules stabilisées pour former des flocons ou « flocs »
vendredi 18 décembre 2015
Problématiques des usées au Maroc
Le potentiel hydrique mobilisable dont dispose le Maroc est estimé à 16 milliards de m3
d’eaux de
surface et 5 milliards de m3
d’eaux souterraines. Cependant, la répartition spatiale inégale de ces
ressources grève leur disponibilité sur l’ensemble du territoire. Le caractère aride à semi-aride,
conjugué à une pluviométrie irrégulière, constitue un facteur supplémentaire pouvant rendre, à terme,
ces ressources insuffisantes pour satisfaire une demande qui ne cesse de croître en regard d’une
démographie galopante, du développement de l’industrie et de l’agriculture.
Le rapport de la Direction Générale de l’Hydraulique1
indique que les ressources par habitant et par an
ont baissé de 1200 à 950 m3
de 1990 à 2000. Actuellement ce ratio est de 720 m3
/h/an et ne sera plus
que de 520 m3
/h/an à l’horizon 2020, où la totalité des ressources mobilisables sera utilisée par une
population de 14 millions d’habitants, soit 35 % de la population totale du pays.
La réduction des ressources hydriques constitue une donne à intégrer dans les politiques et les
stratégies de gestion des ressources en eau. Dans cette perspective, de nouvelles orientations ont été
édictées pour assurer l’approvisionnement en eau, elles préconisent l’utilisation des eaux non
conventionnelles. Les eaux usées domestiques, notamment celles issues des villes continentales, sont
utilisées directement en agriculture. 70 millions de m3
d’eaux usées, environ, sont chaque année
réutilisés directement en agriculture. Ce potentiel hydrique peut être utilisé à bon escient pour faire
face à une demande croissante en eau. Cependant, il est impératif d’éliminer les polluants de ces rejets
pour s’affranchir des impacts négatifs. Pour atteindre cet objectif de nombreux projets de recherches
concernant l’épuration par certains procédés adaptés au contexte local et la réutilisation des eaux
usées épurées ont vu le jour (Lagunage à Boujâad, Infiltration-percolation à Ben Sergao, Ouarzazate,
Infiltration-percolation à Drarga). Ils ont permis de maitriser les paramètres de conception de ces
procédés et les conditions de réutilisation des eaux usées épurées en agriculture.
Les eaux non conventionnelles englobent également les saumâtres et les eaux de mer. Le potentiel
dont dispose le Maroc en ces ressources a poussé à réfléchir sur l’opportunité de les utiliser pour
répondre à la demande croissante. Déjà en 1976 une première unité de dessalement d’eau de mer
d’une capacité 75 m3
/j fut installée à Tarfaya. Il s’en est suivi d’autres installations, notamment celle
de Laâyoune d’une capacité de 7000 m3
/j et d’Agadir prévue 2011 d’une production de 44 m
3
/j.
A l’échelle régionale l’ONEP a mis en place le programme PAGER (Programme
d’approvisionnement groupé en eau potable des populations rurales) dans le but de doter 11 millions
d’habitants en milieu rural en eau potable à l’horizon 2010. L’infrastructure, les équipements, le
personnel technique, etc… tout autant que les moyens de contrôle de qualité au niveau des stations de
traitement des eaux potables, des conduites d’adduction et les systèmes de distribution, etc…
constituent les mesures d’accompagnement pour desservir la population en eau potable. Ils dénotent
les efforts déployés par les autorités pour lui permettre l’accès à l’eau.
Le milieu récepteur est sollicité constamment par l’activité socio-économique. Il constitue le
réceptacle de ses résidus. En particulier, les ressources hydriques sont le siège de contaminations de
toutes sortes, émanant des activités, aussi bien domestiques qu’industrielles. Les lacs, les barrages, les
eaux souterraines qui constituent les principales sources d’alimentation en eau potable, se trouvent, de
ce fait contaminés. Leurs eaux ne peuvent être directement utilisées. Cette situation s’empire avec le
développement industriel et l’augmentation de la population.
Actuellement, la gestion des ressources hydriques s’inscrit actuellement dans une vision intégrée, considérant la ressource « Eau » le long de son cycle naturel, depuis la source jusqu’à son déversement dans le milieu naturel, après son utilisation dans diverses activités socio-économiques. Les pollutions qu’elle peut entrainer avec elle et qui peuvent être sources de nuisances pour l’homme et l’environnement sont pris en considération à travers tout un arsenal juridique. La loi 10-95 définit un ensemble de dispositions réglementaires visant la protection des ressources hydriques pour que les efforts déployés, d’un côté, par les autorités compétentes pour faciliter l’accès à l’eau ne soient vains, d’un autre côté, par des actes intempestifs des pollueurs, pouvant grever sa qualité et son coût.

Actuellement, la gestion des ressources hydriques s’inscrit actuellement dans une vision intégrée, considérant la ressource « Eau » le long de son cycle naturel, depuis la source jusqu’à son déversement dans le milieu naturel, après son utilisation dans diverses activités socio-économiques. Les pollutions qu’elle peut entrainer avec elle et qui peuvent être sources de nuisances pour l’homme et l’environnement sont pris en considération à travers tout un arsenal juridique. La loi 10-95 définit un ensemble de dispositions réglementaires visant la protection des ressources hydriques pour que les efforts déployés, d’un côté, par les autorités compétentes pour faciliter l’accès à l’eau ne soient vains, d’un autre côté, par des actes intempestifs des pollueurs, pouvant grever sa qualité et son coût.
jeudi 17 décembre 2015
cours sur l'épuration des eaux usées par lagunage
Le principe de l’épuration des eaux usées par lagunage naturel ou écologique est connu
depuis l’Antiquité. Il repose sur le processus d’auto-épuration se déroulant spontanément
dans les mares, les étangs et autres étendues d’eau, dans lesquels les micro-organismes
dégradent la matière organique et la transforment en éléments minéraux.
Dès le début du vingtième siècle l’épuration par lagunage naturel a connu un développement
important. Au Texas un lac artificiel de 275 ha fut aménagé pour recevoir les eaux usées afin
de subir une épuration biologique. Ensuite, dans les années vingt, il se développa largement
de par le monde, notamment aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, en Suède ...
Le lagunage à “ haut rendement ” où l’épuration est due à l’action associée des bactéries et
d’une culture intensive d’algues a été mis en œuvre en 1960 en Californie.
La mise en place des bassins de lagunage était réalisée d’une manière empirique. A partir des
années cinquante, des études furent entreprises pour maîtriser le fonctionnement des
installations en relation avec les paramètres opératoires comme la profondeur des bassins,
l’aération artificielle, …Ceci a permis ainsi au lagunage de devenir un procédé fiable et
performant.
Ce procédé d’épuration présente certains avantages qui ont permis de l’utiliser à grande
échelle. Ces avantages sont :
un coût d’investissement faible ;
un coût d’exploitation faible ;
un entretien aisé ;
une bonne élimination de la pollution organique et microbiologique ;
la possibilité de valoriser des sous-produits (biomasse planctonique, plantes d’eau,
poissons d’élevage) et d’utiliser l’eau épurée pour la fertilisation et l’irrigation en
agriculture.
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mercredi 16 décembre 2015
l’épuration des eaux usées et la gestion des sous-produits de l'assainissement
épuration des eaux usées
I Les données du problème................................................... 5
1.1 Origines des pollutions – Typologie et ratios..................................................... 51.2 Effets des pollutions sur les milieux récepteurs................................................. 9
1.2 Effets des pollutions sur les milieux récepteurs............................................... 10
1.3 Modélisation de l'impact de la matière organique ........................................... 11
II Notions d'épuration...........................................................14
2.1 Eléments d'histoire.......................................................................................... 142.2 Les prétraitements .......................................................................................... 20
2.3 Les traitements physico-chimiques ................................................................. 21
2.4 les traitements biologiques.............................................................................. 24
III Les boues et sous-produits .............................................38
3.0 Préliminaire ..................................................................................................... 383.1 Les sous–produits........................................................................................... 38
3.2 Typologie et ratios des boues de STEP.......................................................... 39
3.3 Contextes réglementaire et technique de la gestion des boues...................... 41
3.4 Techniques de traitement des boues .............................................................. 49
3.5 L'oxydation thermique ..................................................................................... 63
3.6 L'épandage ..................................................................................................... 68
Annexes
